dimanche 17 décembre 2017

alimentation et climat : trop de viande dans les assiettes

On a vu précédemment que l'alimentation occupe une part non négligeable de nos émissions de gaz à effet de serre : 36% !
L'empreinte carbone de notre alimentation comme son empreinte eau varie énormément selon l'origine des protéines animales.

Voilà donc un levier d'action simple et pragmatique :

Je relaie ici une campagne de Greenpeace :
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Dans les cantines scolaires, entre deux et six fois trop de protéines sont servies aux enfants par rapport aux recommandations de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES).
Cela présente un risque pour la santé des enfants (augmentation des maladies chroniques d’origine nutritionnelle, comme l’obésité, le diabète, les maladies cardio-vasculaires ou encore les cancers, d’après un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé).
La surconsommation de viande et de produits laitiers dans les écoles a également un impact sur l’environnement. L’élevage représente plus de 14 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, d’après l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). La fermentation entérique des animaux produit du méthane et l’entretien des terres est l’une des causes des émissions de CO2 et de protoxyde d’azote. L’élevage contribue aussi à la déforestation car les terres boisées sont rasées pour en faire des zones de pâturage pour le bétail ou pour produire des cultures qui sont ensuite utilisées pour nourrir les animaux.
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Dans le domaine de l'alimentation comme dans la plupart des domaines de notre vie quotidienne, il existe des comportements que l'on peut considérer

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