samedi 15 octobre 2016

pièges...

Petit retour sur moi-même, et mes élucubrations politico-économiques initiées en 2011 : je suis déjà tombé dans certains pièges, peut-être classiques d'un bricolo des idées dans mon genre. Sans hiérarchisation ni chronologie :

  • le piège d'évaluer quantitativement des solutions, avant même d'avoir bien cerné les problématiques, recherché les causes, qualifier et peser les enjeux. C'est probablement dans ce piège que je suis tombé quand je me suis intéressé aux effectifs de l'éducation nationale, et peut-être au système des retraites en cherchant la viabilité par l'équilibre à tout prix. Ce piège, je le considère comme un moyen de re-diriger mes réflexions et de les accélérer comme une comète accélérée après avoir frôlé une planète.
  • le piège des idées simples, voire simplistes. C'est peut-être dans ce piège que je suis tombé quand j'ai évalué la Taxe sur les Excédents Commerciaux. C'est sans doute un travers du non-expert découvrant un sujet. Si je me présentais devant les électeurs avec ces idées toutes faites, on pourrait en cela me qualifier de populiste, voire de démagogue. Ce piège, j'accepte d'y tomber à la condition d'y rebondir.
  • le piège des solutions radicales. C'est sans doute le cas de ma proposition de monarchie héréditaire écologique, et dans une moindre mesure celle de salaire maximum autorisé. Une idée qui me parait bonne, mais qui être un repoussoir pour une grande partie des citoyens. Dans ce cas peut-être vaut-il mieux renoncer à hérisser le poil de la majorité, pour rendre audible le reste de son message. Ce n'est pas mon choix sur ce blog, dans lequel je tente de construire un programme cohérent, y compris en y incluant des propositions radicales. Ce dernier piège, je l'assume.

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